Didier Berberat
Conseiller aux Etats

L'efficacité des parlementaires a été mesurée par la "NZZ am Sonntag". Avec mes 14 interventions, je reçois la note 10 et je suis classé 7ème sur 200 parlementaires! Il est vrai cependant que ce genre de classements restent toujours un peu relatifs dans le sens où tout dépend des critères choisis pour les réaliser. Je vous laisse vous faire votre opinion en lisant l'article tiré du Temps ci-dessous...

Les Latins sont les plus bavards

Kiosque: la «NZZ am Sonntag» publie le taux de réussite et d'interventions des parlementaires.

Bernard Wuthrich, Le Temps du mardi 18 septembre 2007

L'efficacité d'un parlementaire peut se mesurer de différentes manières. Il y a les élus qui comptent, qui donnent le ton et pèsent de leur autorité sur le processus politique. Et il y a ceux qui, sans être d'absolus ténors, multiplient les interventions personnelles, motions, postulats, initiatives parlementaires. Michael Hermann, politologue à l'Université de Zurich, a recensé, élu(e) par élu(e), les interventions déposées durant la législature et a ainsi tenté de mesurer le taux de réussite des conseillères et conseillers nationaux. Il a pondéré les interventions selon leur importance politique (une initiative parlementaire pèse plus lourd qu'une motion, qui, elle, vaut plus qu'un postulat) et a attribué une note en fonction de l'acceptation ou du rejet de ces interventions individuelles.

Didier Berberat (note 10 pour 14 interventions) et le Valaisan Jean-Noël Rey (note 10 pour 25 interventions). En queue de classement, une bonne cinquantaine d'élus se partagent le 124e rang. Aucun de leurs postulats, motions ou initiatives n'a convaincu le plénum. Dix-sept Romands figurent sur cette liste.

La NZZ am Sonntag est la version dominicale du quotidien NZZ. Son tirage est de 121204 exemplaires.