Didier Berberat
Conseiller aux Etats

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Ensemble contre la pauvreté

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Mon smartspider

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Que penser des dérapages commis par l’actuel ministre de la Justice ?

Septembre 2007

Les récents et multiples dérapages du Conseiller fédéral Blocher nuisent à la cohérence confédérale et à l’image de la Suisse dans le monde. Comment juger le comportement ambigu par lequel l’actuel ministre de la Justice joue avec les principes démocratiques d’un Etat de droit moderne ?

Le respect de nos institutions démocratiques est bafoué lorsque le ministre de la Justice, comme un chef de parti, attaque la séparation des pouvoirs, lorsqu’il s’en prend au parlement, au gouvernement et aux tribunaux suisses clamant qu’ils ne doivent passer outre les décisions du peuple, lorsqu’il appelle au non-respect du droit international, lorsqu’il traite deux Albanais de criminels alors qu’ils n’ont pas été condamnés et qu’il ment au Parlement, lorsqu’il compare les organisations et juristes internationaux aux baillis du 13ème siècle voulant s’approprier le pouvoir au détriment du peuple et du pays, lorsqu’il regrette le droit supérieur qui écrase les droits populaires, lorsqu’il critique à l’étranger une loi suisse, lorsqu’il laisse le pays pendant une année sans procureur de la Confédération, lorsqu’il critique les arrêts du Tribunal fédéral, lorsqu’il affaiblit ce dernier sur le plan financier, en diminuant le nombre de juges malgré les affaires qui augmentent.

Que penser de ces nombreux dérapages commis par l’actuel ministre de la Justice et comment, jusqu’à la fin de cette législature, entend-on réagir pour garantir la séparation des rôles et des pouvoirs ? Voilà la question que j'ai posée au Conseil fédéral lors de cette session.

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Dessinateur: Mix et Remix

Enlevez vos oeillères, enlevez votre bâillon

Pour défendre le vrai, le juste, le bien.

Pour combattre le nationalisme, le populisme, le racisme.

L'extrême-droite piétine les valeurs essentielles à l'être humain, à l'universel. Les représentants des Droits de l'Homme, de l'ONU s'en inquiètent. Et ils ne sont pas les seuls. Comment ne pas se révolter? Comment ne pas avoir honte pour notre pays, la Suisse, qui se voit contre son gré, placardée d'affiches ignobles?

Comment ne pas vouloir crier haut et fort que non, nous ne sommes pas des moutons, que non, nous ne voulons pas des préjugés, des discriminations de l'UDC?

A vous, Citoyenne, Citoyen, d'user de votre liberté d'expression et de combattre l'ignorance, le racisme, le populisme, le nationalisme. Pour que le passé reste le passé. Pour que l'avenir soit ouvert, flamboyant, tolérant, juste, humain.

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Résultat positif à l'ecorating!

L'ecorating analyse minutieusement quelles/quels parlementaires ont soutenu des objets de politique environnementale au cours de cette législature qui prendra bientôt fin. Les électrices et électeurs sont particulièrement sensibles aux questions qui touchent l'environnement. A la veille des élections fédérales 2007, ils ont le droit d'être informés sur l'orientation des candidates et des candidats.

22 votes ont été évalués, touchant des thèmes comme le climat, la nature, le nucléaire, les OGM et les transports.

J'ai participé à 21 votes. Retenu par une séance avec un membre du Conseil fédéral sur des sujets touchant la politique régionale, je n'ai pu être présent au 22ème vote qui m'aurait donné le 100% à l'ecorating. Je suis satisfait de ce résultat et je continuerai de m'engager dans mon quotidien et dans le cadre de mes mandats politiques pour un environnement sain.

Législature 2003-2007: les succès socialistes à Berne ne manquent pas d'envergure!

3 septembre 2007

Mon bilan de législature

16 août 2007

Il est toujours difficile de dresser, en quelques lignes, un bilan de son activité durant toute une législature fédérale qui compte environ 50 semaines de session, soit 220 jours de séances, sans compter les séances de commissions ou de groupes.

De plus, l’activité parlementaire est, à mes yeux, un travail d’équipe que l’on accomplit au sein de son groupe en concluant des alliances avec, très souvent, les autres partis de gauche, et plus rarement avec une partie de la droite parlementaire.

Durant la législature qui se terminera prochainement, j’ai continué à mettre l’accent sur nos valeurs socialistes de solidarité confédérale, notamment la défense des régions périphériques, dont le canton de Neuchâtel dans son entier, tant il est vrai que si nous ne nous battons pas pour le développement de ces régions, personne d’autre ne le fera à notre place.

Dans ce domaine, j’ai particulièrement combattu pour la reconduction de l’Arrêté Bonny, qui est désormais inclus dans la nouvelle loi sur la politique régionale, en collaboration d’ailleurs avec notre Canton, notamment notre camarade Bernard Soguel, qui s’est lui aussi beaucoup impliqué dans ce dossier.

Même si la loi a été adoptée en octobre 2006, nous devrons rester très attentifs aux mesures d’exécution de cette loi et notamment aux zones couvertes par la nouvelle mouture de l’Arrêté Bonny qui devra absolument comprendre l’ensemble du canton de Neuchâtel, contrairement à ce qui se concocte dans les cuisines bernoises.

J’ai également obtenu avec Jean Studer une meilleure représentation des minorités linguistiques au sein de l’administration fédérale et je surveille très attentivement la mise en œuvre de notre motion qui a été acceptée à l’unanimité par les deux Chambres, afin que celle-ci ne reste pas lettre morte.

En ce qui concerne la cohésion nationale qui me tient à cœur, on peut relever que ma proposition qui consiste à enseigner une langue nationale comme deuxième langue a été reprise dans la loi sur les langues qui a été acceptée par le Conseil national lors de la récente session d’été des Chambres. Il ne s’agit bien évidemment pas d’un combat contre l’anglais, mais bien de la promotion des autres langues nationales dans le cadre scolaire, afin que les Suissesses et les Suisses continuent à avoir envie de vivre ensemble.

En tant que membre de la Commission de l’économie et des redevances, j’ai lutté tant au Parlement que dans la campagne référendaire contre le paquet fiscal qui, une fois de plus, favorisait les milieux les plus aisés et que le peuple suisse a eu la sagesse de refuser lors de la votation du 16 mai 2004.

J’ai également continué mon combat pour le classement de la H20 en route nationale, afin que cet axe soit financé exclusivement par la Confédération et non par le Canton et que l’Etat puisse ainsi utiliser à l’avenir ces sommes pour les transports publics. Finalement, avec l’appui des Autorités cantonales, nous avons obtenu gain de cause, puisque la H20 sera prochainement inscrite dans le plan sectoriel des routes nationales. Il en est de même des pâturages boisés’ où, là aussi, suite à un incessant harcélement de ma part, le Conseil fédéral a accepté de les reconnaître dans la future législation sur l’agriculture.

Dans le domaine de la justice sociale et de l’emploi, je suis intervenu à plusieurs reprises pour un contrôle plus rigoureux des conditions de travail et de salaires dans le domaine de la libre circulation des personnes. En effet, si l’on ne donne pas de garantie de lutte contre les dangers de la sous-enchère sociale et salariale, on risque d’assister au développement d’un sentiment xénophobe de la part des travailleuses et travailleurs établis en Suisse.

Pour le surplus, j’ai déposé durant cette législature plus de 50 interventions parlementaires dont vous trouverez le détail sous la rubrique "A Berne" du site.

Didier Berberat

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Candidat au Conseil national

3 février 2007

Siégeant au Conseil national depuis 1995, j'ai décidé de me représenter une dernière fois, non sans m'être posé clairement la question de savoir si une nouvelle candidature était justifiée. Après réflexion, il me paraît qu'elle l'est, car plusieurs projets pour lesquels je me suis beaucoup engagé, et qui me tiennent à cœur, seront examinés par le Parlement fédéral, ces deux prochaines années.

Je pense en particulier à la mise en place des nouveaux instruments de la politique régionale adoptée récemment, à l'intégration de la H 20 dans le plan sectoriel des routes nationales ou encore au Transrun, qui doit non seulement relier Neuchâtel au Locle, mais qui doit encore s'inscrire dans le prolongement du Littoral sur l'est et avoir des ramifications vers Morteau et vers Bienne.

Au surplus, j'estime avoir suffisamment d'énergie et d'enthousiasme pour me battre afin de défendre l'ensemble de notre Canton et nos valeurs socialistes de solidarité et de justice sociale.

Durant les trois années de la présente législature, j'ai notamment défendu avec conviction les régions périphériques, qu'il s'agisse de la nouvelle politique régionale ou des infrastructures de transport. J'ai également obtenu avec Jean Studer une meilleure représentation des minorités linguistiques au sein de l'administration fédérale. Récemment, j'ai dénoncé l'utilisation des primes de l'assurance-maladie de base pour financer la campagne contre la Caisse unique. Ces résultats sont aussi à mettre au crédit de tout le groupe socialiste des Chambres fédérales qui m'a soutenu ainsi qu'à celui de nos alliés Verts et Popistes.

Si le peuple neuchâtelois me renouvelle sa confiance cet automne, je continuerai à dénoncer, au sein de la Commission de l'économie et des redevances, les cadeaux fiscaux que les plus riches obtiennent au détriment de la classe moyenne et des personnes défavorisées, et à promouvoir une meilleure justice fiscale. Il s'agira de nous opposer aux forfaits fiscaux, à la fiscalité des entreprises et à l'aberrante proposition de supprimer l'impôt fédéral direct au profit de la TVA, ce qui ne profiterait qu'aux personnes ayant un revenu très élevé. Nous devrons aussi lutter pour un meilleur système d'imposition des familles et pour l'harmonisation fiscale.

La lutte sera, comme à chaque fois, difficile, et nous devrons, comme Neuchâtelois, conclure des alliances avec les autres régions périphérique de notre pays ou, en matière sociale, avec le PDC, les quelques Libéraux et Radicaux encore éclairés, espèce malheureusement en voie de disparition.

Je suis prêt à relever ce défi pour notre parti, pour notre canton, afin que la politique fédérale ne laisse personne au bord du chemin et tienne compte de l'intérêt bien compris de toutes les régions du pays.

Didier Berberat

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